Avez-vous déjà prêté attention au nombre de villes et villages qui sont situés le long d’un cours d’eau ? Sous nos latitudes, la très grande majorité et sinon c’est qu’il y a une source ou un puits non loin.
Scoop : il faut de l’eau pour vivre
Et oui, ça n’est pas pour rien que l’on en fait tout un foin quand on trouve de l’eau sur Mars. C’est un critère essentiel pour la vie telle qu’on la connaît (certains chercheurs spéculent sur une base méthane possible quand même).
Alors que la COP21 est encore toute fraîche, c’est l’occasion de réaffirmer que toutes ces histoires de changements climatiques ne sont pas des broutilles comme peuvent l’affirmer certains :
Devons-nous trouver pénible de pouvoir plus souvent déjeuner en extérieur au printemps et en automne ?
– Philippe Verdier, (ex)présentateur météo FR2
D’ailleurs lorsque l’on se penche sur les argumentations comment dire… ça sonne faux.
Et quand on en a moins ou trop cela vire au drame…
Non, il ne s’agit pas simplement de pouvoir manger dehors sans une petite laine. Il s’agit d’éviter des guerres, famines et mouvements de populations de masses et toutes les tensions qui vont avec.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, je vous invite à parcourir le dossier de Géo sur les enjeux de l’eau, l’article du magazine Sciences Humaines sur la Géopolitique de l’eau et l’intervention de Pierre Blanc sur le thème des Conflits géopolitiques autour de l’eau au Proche-Orient visible sur la webtv CanalU.
Faire revenir l’eau dans nos vies
De manière plus légère, il me parait intéressant de souligner le nombre croissant d’actions locales pour protéger les ressources en eau et surtout les ramener au cœur des centres urbains.
Il y a eu une prise de conscience de tous les bienfaits, autres que la simple survie, qu’apporte la présence d’un cours d’eau. De grands débats publics sont même organisés maintenant sur l’avenir des fleuves et rivières, comme à Nantes avec La Loire et Nous.
Le plaisir de reprendre contact avec la « nature »
Un fleuve ou une rivière protégé, c’est la garanti d’un écosystème riche où se côtoient plantes et animaux, un élément apaisant dans l’atmosphère bétonnée et électrique où la majorité d’entre nous vit maintenant.
Je vous laisse conclure vous-même en trouvant un mot de la fin percutant et pertinent sur la protection de l’eau… C’est ma façon de vous transmettre le flambeau. J’attends vos idées dans les commentaires 😉
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